«Pas le choix», l’OL obligé de vendre un gros joueur !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Resté en Ligue 1, l'OL a échappé au pire cet été. Malgré tout, les Gones ont dû résoudre de gros problèmes économiques et pour remédier à cela, le transfert de Georges Mikautadze a été acté. Le Géorgien s'en est allé ainsi vers Villarreal. Une grosse perte sportive pour Lyon, mais comme expliqué par Michele Kang, cela était nécessaire.

C'est en larmes que Georges Mikautadze a quitté l'OL, son club de coeur. Cet été, dans les dernières heures du mercato, le Géorgien a été vendu pour environ 35M€ à Villarreal. Grâce à cette vente de l'attaquant de 24 ans, Lyon a donc empoché un joli chèque qui a fait énormément de bien à un moment où les Gones étaient en proie à de grosses difficultés financières.

« Nous n'avons pas le choix »

Cet été, compte tenu de sa situation, l'OL avait l'obligation de réaliser un gros transfert. Plutôt que Malick Fofana, c'est donc Georges Mikautadze qui a été vendu. Un transfert que Michele Kang, présidente lyonnaise, avait dû annoncer à Paulo Fonseca et son staff. Ainsi, dans des images diffusées par l'OL, elle avait expliqué : « Au-delà de toutes les promesses que nous avons faites. Il nous reste encore un rendez-vous le 1er décembre avec la DNCG. Donc, on doit aller au bout, tout dépend d'un seul autre transfert, nous n'avons pas le choix. C'est ce qui va se passer. Mais juste un, un seul ».

« L’Olympique Lyonnais n’a jamais voulu se séparer de Georges »

Agent de Georges Mikautadze, Vadim Vasilyev est revenu récemment sur le départ du Géorgien de l'OL pour Villarreal. Il expliquait alors : « L’Olympique Lyonnais n’a jamais voulu se séparer de Georges. Ils le voyaient vraiment comme leur attaquant numéro 1 dans la hiérarchie. C’est à la fin que le club devait vendre, devait remplir les caisses soi-disant. Je n’en sais rien s’ils avaient d’autres cibles à vendre, j’ai quelques pensées, mais je ne vais pas le dire parce que je ne suis pas à 100% sûr ».

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