Lié au PSG jusqu'au 30 juin 2027, comme le10sport.com vous l'a révélé en exclusivité, Neymar serait poussé vers la sortie par la direction du PSG. Alerté par la situation du numéro 10 parisien, Santos est à l'affût pour le rapatrier dès cet été. Interrogé ce samedi, Andres Rueda - président du club brésilien - a reconnu qu'il était en contact avec le père de Neymar et qu'il faisait tout son possible pour le recruter.
Malgré un contrat qui court jusqu'au 30 juin 2027, comme le10sport.com vous l'a révélé en exclusivité, Neymar est sur la sellette au PSG actuellement. En effet, la direction du club de la capitale aurait décidé de se débarrasser de son numéro 10 lors de ce mercato estival. D'ailleurs, les hautes sphères du PSG aurait même déjà prévenu Neymar et son entourage qu'elles voulaient boucler un transfert d'ici la fin du marché. Conscient de la situation de la star brésilienne au PSG, Santos est en embuscade pour le rapatrier lors de cette fenêtre de transferts. D'ailleurs, Andres Rueda - le président du club - a reconnu qu'il était en contact permanent avec le père de Neymar.
«Je parle habituellement avec le père de Neymar»
« Je parle habituellement avec le père de Neymar. Nous échangeons des idées et cela fait partie de notre quotidien. Avec cette opportunité et ce qui se passe avec lui au PSG, Santos laissera toujours les portes ouvertes et rêvera. Santos aimerait avoir Neymar chez lui », a confié Andres Rueda, le président de Santos, lors d'un entretien accordé à Radio Guaruja.
«Santos aimerait avoir Neymar chez lui»
Dans la foulée, Andres Rueda en a rajouté une couche, révélant que Neymar a fait la promesse de revenir à Santos lorsqu'il a été transféré au FC Barcelone. « Quand il est parti, il a dit qu'il s'en allait, mais qu'il reviendrait. Nous avons parlé, nous savons que c'est difficile, que c'est un rêve », a déclaré le président de Santos, avant d'insister sur le fait qu'il fera tout son possible pour boucler le retour de Neymar.
«Santos laissera toujours les portes ouvertes et rêvera»
« Nous parlons et nous parlerons. C'est un rêve, mais ça ne nous empêche pas de parler (avec lui). Mon obligation est d'essayer au moins », a conclu Andres Rueda, le président de Santos.