Mercato - PSG : Recruté par Luis Campos, il affiche un discours rassurant
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Fortement désiré par Luis Campos qui avait déjà collaboré avec lui par le passé au LOSC, Renato Sanches a été recruté pour 15M€ cet été au PSG. Et malgré une concurrence XXL et un temps de jeu plutôt limité, le milieu de terrain portugais semble épanoui au sein de ce nouveau challenge.

En plus de Vitinha (40M€), Hugo Ekitike (prêt avec option d’achat de 35M€), Nordi Mukiele (15M€), Fabian Ruiz (25M€) et Carlos Soler (17M€), le PSG a donc accueilli dans ses rangs Renato Sanches au cours du mercato estival. Le milieu de terrain portugais de 25 ans, arrivé du LOSC pour 15M€, était fortement désiré par Luis Campos qui avait déjà été à l’origine de son transfert au LOSC en 2019. Et dans quel état d’esprit se trouve l’ancien joueur du Bayern Munich, qui affronte une rude concurrence cette saison au PSG ?

« Tout se passe bien »

Interrogé dimanche par Le Quotidien du Sport, Renato Sanches a évoqué son intégration au PSG : « Tout se passe bien. Je suis content de faire partie de cette équipe. A vrai dire, ce n’était pas difficile non plus. Je sens que ça va de mieux en mieux au fur et à mesure des semaines. Mais je suis heureux de mon choix », confie l’international portugais à travers ce discours rassurant.

Renato aidé par les autres portugais du PSG

Il poursuit sur son adaptation dans le vestiaire du PSG, facilitée par ses compatriotes lusitaniens : « Les Portugais de l’effectif m’ont-ils aidé à prendre mes marques ? Bien évidemment. C’était une bonne chose et une aide précieuse. Surtout que l’on parle la même langue. Et cela est valable avec d’autres joueurs qui ne sont pas portugais. Je suis avec un bon groupe et de bonnes personnes. Certaines que je connais depuis de nombreuses années. Même Vitinha, j’ai pu apprendre à le connaître. On a tous eu une bonne relation dès le début », indique Sanches.

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