Dans son édition de lundi, le quotidien le Parisien dévoile certains éléments du contrat de Lionel Messi au PSG, prévoyant un salaire annuel de 41 millions d’euros, ce qui indique que l’attaquant argentin a fait un gros effort financier pour signer à Paris, alors qu’il pouvait prétendre à un salaire bien supérieur du fait de son accord avec le Barça. Mais cet effort salarial répond à une logique implacable. Explication.
Ces dernières heures, le quotidien Le Parisien a apporté de nouvelles révélations sur le contrat de Lionel Messi au Paris Saint-Germain. Selon le média français, le bail de l’attaquant argentin prévoit une rémunération annuelle de 41M€, un chiffre qui témoignerait que ce dernier aurait fait un gros effort financier pour venir à Paris.
EXCLU @le10sport : Luis Campos s’active pour prolonger Messi▶️ Doha a donné son ok sur le volet sportif▶️ Les discussions ont démarré ▶️ Si Messi est ok pour rester, il faudra ensuite voir les conditions financières. Car Paris doit faire attention…https://t.co/alP3XVGGjw
— Alexis BERNARD (@AlexisBernard10) October 20, 2022
Une raison simple : il n’avait pas le choix
Mais à l’analyse, cet effort trouve une explication toute simple : Lionel Messi s’était retrouvé sans aucun club après le faux bond du FC Barcelone, tout cela au début du mois d’août alors qu’il n’avait plus aucun contrat. Or le PSG était le seul club au monde en capacité de faire une offre XXL à Lionel Messi, à partir du moment où Manchester City avait repoussé l’idée et que Liverpool avait décidé de conserver Mohamed Salah. En conséquence, Messi n’a pas eu trop le choix ni la possibilité de faire monter les enchères. Il a donc logiquement dû accepter l’offre du PSG, quand bien même elle était largement inférieure à celle utopique du Barça. C’est d’ailleurs probablement pour cela que Messi s’est senti trahi par le président du Barça Joan Laporta, ce dernier lui ayant laissé croire que le club catalan avait bien les moyens de son offre alors qu’il était évident que ce ne serait pas le cas, ce qui fait que l’Argentin s’est retrouvé abandonné sur le marché à moins d’un mois de la fermeture.