Alors que le contrat de Jorge Sampaoli s'achève en juin 2023, et que ses choix sont parfois remis en cause, l'OM réfléchirait déjà à sa succession et apprécierait notamment le profil de Roberto De Zerbi, l'entraîneur du Shakthar Donetsk.
Bien que les résultats de l'OM depuis l'arrivée de Jorge Sampaoli soient plutôt encourageants, le passé du technicien argentin peut prêter à la prudence concernant son avenir. Et pour cause, l'ancien sélectionneur de l'Albiceleste n'a pas l'habitude de s'éterniser dans les clubs dans lesquels il est passé. Son contrat s'achève d'ailleurs en 2023 et certains de ses choix ont suscité la crispation en interne, à l'image de la mise sur le banc de Steve Mandanda au profit de Pau Lopez ou encore de ses hésitations avec Arkadiusz Milik. En cas d'échec pour une qualification en Ligue des champions, l'avenir de Jorge Sampaoli pourrait d'ailleurs être remis en cause. « Je veux me qualifier pour la Ligue des champions. Pour rester ici, je dois répondre aux attentes de cette ville. Sinon, je ne vais pas être heureux. Pour ça, on a besoin d’une équipe compétitive pour gagner le championnat ou une coupe d’Europe », confiait le Pelado dans une interview accordée au Canal Football Club.
L'OM adore De Zerbi
Et selon les informations de Calciomercato.it, l'OM travaillerait déjà à la succession de Jorge Sampaoli et apprécierait particulièrement le profil de Roberto De Zerbi. Il faut dire que l'entraîneur du Shakthar Donetsk est actuellement à l'arrêt à cause de la guerre en Ukraine, et bien qu'il semble très attaché à son club, son avenir reste inévitablement incertain compte tenu du contexte. La priorité du technicien italien reste donc le Shakthar, qu'il a rejoint l'été dernier et où son contrat court jusqu'en juin 2023. Mais si jamais il venait à être contraint de partir, la Ligue 1 serait prête à lui tendre les bras. En plus de l'OM, l'AS Monaco et surtout l'OL apprécient Roberto De Zerbi, toujours d'après CM.it. Son nom avait d'ailleurs circulé à Lyon en fin de saison dernière pour remplacer Rudi Garcia avant que Jean-Michel Aulas ne décide finalement de nommer Peter Bosz.