Alors qu’il sera libre de tout contrat en juin 2024, Kylian Mbappé a fait savoir au PSG lundi via un courrier son intention de ne pas activer son option pour étendre son bail d’une année supplémentaire. Une décision très mal accueillie par le club de la capitale, qui n’aurait pas apprécié les méthodes employées par l’international français.
Le feuilleton est relancé. L’avenir de Kylian Mbappé au PSG est revenu sur le devant de la scène ces derniers jours. Alors que le club de la capitale se faisait une fierté d’annoncer sa prolongation jusqu’en 2025 il y a un peu plus d’un an, l’attaquant âgé de 24 ans est en réalité sous contrat jusqu’en juin 2024, avec une année supplémentaire en option. Une clause que Kylian Mbappé n’a pas l’intention d’activer.
PSG : Kylian Mbappé balance tout sur son mercato https://t.co/FzZwiZoMXF pic.twitter.com/kS11AAiiib
— le10sport (@le10sport) June 14, 2023
Mbappé ne lèvera pas son option
En effet, le capitaine de l’équipe de France a fait savoir au PSG lundi dernier via un courrier qu’il ne comptait pas lever cette option. Dans la situation actuelle, il pourrait donc quitter le club de la capitale libre dans un an. Une décision qui n’aurait pas du tout plu au PSG. Comme indiqué par Le Parisien, au-delà de son choix de ne pas prolonger son contrat pour une saison de plus, ce serait la manière dont a procédé Kylian Mbappé qui n’aurait pas plu aux dirigeants parisiens.
Le PSG fou de rage
Selon Le Parisien, le siège du club de la capitale aurait rarement été aussi agité ces derniers mois que depuis l’annonce de Kylian Mbappé. Ce serait un mélange de colère et d'incompréhension qui régnerait en interne au PSG. Ce dernier n’aurait pas apprécié que l’attaquant de 24 ans fasse savoir son choix de cette manière, d’autant plus qu’il avait jusqu’au 31 juillet prochain pour arrêter sa décision. En interne, les Parisiens auraient vu cela comme un moyen de faire fuiter l’information, voire de créer un conflit entre Kylian Mbappé et le club, pouvant potentiellement mener à un divorce entre les deux parties.