L’OM menacé, De Zerbi peut claquer la porte !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

L'Olympique de Marseille se prépare à un retour en Ligue des champions, très probablement sous la houlette de Roberto De Zerbi, sous contrat jusqu’en 2027. Mais gare à ne pas froisser le technicien italien durant le mercato, lui qui a notamment quitté Brighton à cause de la politique de recrutement de son ancien club.

La saison prochaine, l’Olympique de Marseille fera son retour en Ligue des champions. Dans un message publié cette semaine sur Linkedin, Pablo Longoria a affiché ses ambitions pour la future campagne européenne, et ce alors que plusieurs noms circulent déjà pour venir renforcer l’effectif phocéen, estimant que cette saison n’était que « les fondations d'un projet qui veut durer, s'élever, affirmer une identité marseillaise forte et une ambition européenne claire ».

Déjà un désaccord entre l’OM et De Zerbi en janvier

Sous contrat jusqu’en juin 2027, Roberto De Zerbi devrait rester sur le banc phocéen, mais on le sait, tout peut aller vite à l’OM. Surtout que le technicien phocéen n’est pas du genre à poursuivre une aventure à contrecœur, lui qui a déjà eu quelques désaccords avec sa direction lors du mercato hivernal, l’Italien ayant des « prétentions incompatibles avec les finances du club » selon La Provence.

La politique de recrutement de Brighton avait poussé De Zerbi au départ

Mécontent de la lenteur de certains dossiers en janvier, Roberto De Zerbi devrait en attendre davantage cet été, en vue de la Ligue des champions. Une exigence à laquelle l’OM devra répondre pour ne pas frustrer son entraîneur, qui a justement quitté Brighton au printemps 2024 en raison, notamment, d’un différend sur la politique de recrutement de la formation anglaise comme le rappelle La Provence.

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