L’OM a bien bouclé une arrivée surprise
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

L’été dernier, l’OM a du s’activer pour trouver un nouvel entraîneur après le départ de Jorge Sampaoli. Dans cette optique, Pablo Longoria s’est finalement tourné vers Igor Tudor. Un choix qui a surpris tout le monde y compris en Italie, où le Croate était coach de l’Hellas Vérone, comme l’explique Alessandro Grandesso.

En fin de saison dernière, contre toute attente, et malgré une deuxième place au classement final en Ligue 1, Jorge Sampaoli a décidé de quitter son poste d’entraîneur de l’OM. Pablo Longoria a alors décidé de nommer Igor Tudor. Un choix qui a soulevé de nombreuses interrogations jusqu’en Italie comme le révèle le journaliste de La Gazzetta dello Sport, Alessandro Grandesso.

Le choix Tudor a surpris l’Italie

« Il était intéressant pour nous de regarder comment il allait travailler à Marseille, qui est un club plus important que Vérone ou les autres clubs où il a exercé. Mais ce qui fait que l'on parle de lui en ce moment, c'est qu'il réussit à rivaliser avec le PSG et qu'il l'a même battu en Coupe de France, parce qu'il faut avouer qu'en Italie, on parle surtout du PSG en Ligue 1. Ce match face à Paris représente sa personnalité, avec l'agressivité dans le jeu, la cohérence et la modernité tactique », lance le journaliste italien pour Le Phocéen avant de poursuivre.

«On a été surpris de le voir partir en France»

« Il était déjà observé en Italie, car ce qu'il a fait à Vérone était intéressant, et il avait travaillé avant avec Pirlo à la Juve. Mais on a quand même a été surpris de le voir partir en France. Là, il est en train de se faire un nom parmi les entraîneurs émergents en Europe, même si le championnat français est moins suivi. Et on a aussi écrit sur le fait qu'il a connu des débuts compliqués au Vélodrome avant d'être complètement reconnu aujourd'hui », ajoute Alessandro Grandesso.

Articles liés