Très actif cet été, l’Olympique de Marseille a notamment rapidement misé sur Facundo Medina, qui est arrivé sous la forme d’un prêt avec une option d’achat obligatoire. Un recrutement érigé en priorité par Roberto De Zerbi, et l’ancien défenseur de l’OM Renato Civelli est d’ailleurs persuadé que l’ancien Lensois est le renfort parfait pour le club phocéen.
Bien décidé à renforcer son secteur défensif, principal point faible la saison dernière, l'OM a décidé de miser sur Facundo Medina qui arrive sous la forme d'un prêt avec option d'achat obligatoire en provenance du RC Lens. Un joli coup pour le club phocéen comme le note Renato Civelli, persuadé que son compatriote va très facilement s'adapter à Marseille.
Medina, le gros coup de l'OM
« Facundo a démontré à Lens qu'il s'était très bien adapté à la Ligue 1 et je n'ai pas de doute pour lui à Marseille. Ce sont deux publics, deux ambiances, qui se ressemblent un peu, avec une ampleur évidemment plus importante à Marseille, et j'espère qu'il arrivera à maîtriser son engagement ici (sourire). Jouer devant 60 000 personnes, cette ferveur, ça reste spécial. Et il n'y a pas que les matches. Tous les jours, en ville, je le ressentais, même à Nice ensuite. Toute cette partie du Sud de la France, proche de l'Italie, est comme ça, et cela rappelle beaucoup l'Argentine », assure l’ancien défenseur de l’OM dans les colonnes de L’EQUIPE, avant d’en rajouter une couche.
«Je n'ai pas de doute pour lui à Marseille»
« Surtout, aujourd'hui, on parle de forts potentiels et d'internationaux. Il y a une double valeur. Et toujours cette intégration facilitée, grâce au climat notamment. Facundo, ses premiers hivers dans le Nord ont dû être durs. À Marseille et dans le Sud, on s'habitue mieux. Il y a aussi ces mêmes contacts avec le public sur et en dehors du terrain. Quand je suis arrivé, je venais d'un petit club (Banfield, à quelques kilomètres au sud de Buenos Aires) et je ne croisais pas grand monde par rapport à San Lorenzo (2009-2010) ou Huracan (2020-2021). Je n'ose même pas imaginer pour les joueurs de Boca. C'est bien quand ça marche, sinon... Comme à Marseille », ajoute Renato Civelli.