Guerre dans le vestiaire : Le clash qui coûte cher à l'OM...
Thomas Bourseau
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Rédacteur
Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.

Pendant tout le mercato d'été, il a été question de leurs départs dans la presse. Cependant, Neal Maupay, Ruben Blanco, Amine Harit et Pol Lirola figurent toujours dans le vestiaire de l'OM. La cause ? Entre autres, un bras de fer en raison du traitement qui leur a été réservé par la direction phocéenne.

Le lundi 1er septembre dernier, le mercato d'été fermait ses portes en France, en Angleterre, en Espagne, en Italie ainsi qu'en Allemagne. De ce fait, d'attrayantes portes de sorties n'étaient plus disponibles pour les joueurs considérés comme indésirables à l'OM.

Blanco, Maupay, Harit et Lirola priés de partir ?

L'Equipe souligne dans ses colonnes du jour un point important : Ruben Blanco, Neal Maupay, Amine Harit et Pol Lirola ont tous été invités à aller voir ailleurs au fil du mercato, sans succès. La cause ? Les joueurs en question auraient repoussé l'idée de toute discussion avec des clubs intéressés pour faire une croix sur l'OM. Pour ce qui est du cas Maupay, le10sport.com vous affirmait le 30 août que l'attaquant français de 28 ans était parti pour rester cet été.

Les quatre indésirables de l'OM en colère ?

D'après le quotidien sportif, la nature de ce refus prendrait vie dans le fait que Blanco, Harit, Lirola et Maupay aient eu envie de profiter de leurs contrats signés avec l'OM dont certains semblent être évolutifs financièrement parlant. Mais là ne résiderait pas l'unique raison de leur refus de prendre en considération un départ de l'OM. L'Equipe partage une certaine irritation chez les joueurs cités concernant leur traitement au fil du mercato par le club marseillais. Un bras de fer pour le moment gagné par cette partie du vestiaire. La bataille continue.

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