70M€ : Transfert validé au PSG !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Déjà visé l’été dernier par le PSG, dans l’optique de remplacer Kylian Mbappé, Khvicha Kvaratskhelia a finalement débarqué à Paris cet hiver moyennant un transfert estimé à 70M€. Et malgré des débuts mitigés, Grégory Paisley est persuadé que le Géorgien finira par s’imposer sous les ordres de Luis Enrique.

Cet hiver, le PSG n'a pas hésité à lâcher 70M€ pour recruter Khvicha Kvaratskhelia en provenance de Naples. Il faut dire que l'international géorgien était déjà annoncé à Paris l'été dernier afin de remplacer Kylian Mbappé, mais le club italien était beaucoup trop exigeant, réclamant pas moins de 120M€. Par conséquent, le club parisien réalise une très affaire, et le Géorgien commence d'ailleurs à prendre ses marques comme en témoigne sa prestation contre l'AS Monaco (4-1). Commentateur de la Serie A pour beIN SPORTS jusqu'à la fin de saison dernière et ancien joueur du PSG, Grégory Paisley est d'ailleurs persuadé de la réussite de Kvaratskhelia à Paris.

Paisley enthousiaste pour Kvaratskhelia

« Il a eu des débuts que l'on peut juger timorés car il faut un certain temps pour trouver une connexion avec ses partenaires même si sur le dernier match on sent que ça vient. Au Mans, on a vu sur deux ou trois séquences avec Fabian Ruiz qu'ils ne se comprennent pas encore. "Kvara" demandait dans l'espace et Ruiz préférait faire tourner derrière », assure l’ex-joueur du PSG dans les colonnes de L’EQUIPE, avant de poursuivre.

«Il n'y a aucun doute qu'il s'adaptera à ce que Luis Enrique souhaite»

« On voit qu'il est en confiance, il ose même s'il ne réussit pas trop. Je trouve que ça, c'est positif. Ses débuts sont prometteurs. Il n'y a aucun doute qu'il s'adaptera à ce que Luis Enrique souhaite parce qu'il possède un QI foot élevé. Quand Naples a été champion, il était beaucoup dans la percussion. Après, il a davantage dû gérer des prises à deux, il s'est construit là-dessus », ajoute Grégory Paisley.

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