«100%» : Il quitte l’OM et s’annonce définitivement dans un autre club !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Durant le mercato estival, l’OM s’est séparé de plusieurs joueurs dont Valentin Rongier qui s’est engagé au Stade Rennais. Et ironie du calendrier, le premier match de Ligue 1 opposait justement le club bretons aux Marseillais. Une rencontre pour laquelle Rongier était capitaine. L’occasion pour lui de s’affirmer comme «100% rennais».

Cet été, l'OM a laissé filer l'un de ses cadres, à savoir Valentin Rongier qui faisait partie des plus anciens joueurs du vestiaire marseillais. Le milieu de terrain s'est engagé avec le Stade Rennais, ce qui n'a pas manqué de faire parler puisqu'il est formé chez le club rival, à savoir le FC Nantes. Et Valentin Rongier n'a pas mis longtemps avant de retrouver l'OM puisque c'était l'affiche de la première journée de championnat. Le Stade Rennais recevait effectivement les Marseillais vendredi soir et se sont imposés 1 but à 0. Une rencontre pour laquelle Valentin Rongier était capitaine, de quoi se sentir Rennais «à 100%».

Rongier capitaine du Stade Rennas

« On est plusieurs capitaines, on a l'expérience suffisante. Je pense à Seko Fofana, Brice Samba, d'autres. C'est à nous d'accompagner les plus jeunes. J'avais ce soir l'honneur de porter le brassard, je suis très content. Cela montre mon engagement et à quel point je suis 100% rennais maintenant », assure-t-il au micro de Ligue1+ avant d’en rajouter une couche.

«Je suis 100% rennais maintenant»

« Avec le coach, on s'est pris un moment en tête à tête cette semaine, il avait besoin d'avoir plus d'informations. Je les connais presque par cœur, on a essayé de travailler là dessus, notamment sur la manière dont ils aiment ressortir le ballon. On a réussi à les gêner jusqu'à ce qu'on soit 10, c'était un peu dur après. Ils nous ont fait courir, il y avait de la fatigue, il n'y avait pas d'autre choix que de reculer, se mettre en bloc bas et procéder en contre-attaque », ajoute Valentin Rongier.

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