Une pépite claque la porte du PSG et se justifie
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

A l’instar de Warren Zaïre-Emery, Presnel Kimpembe ou encore Adrien Rabiot, Virgiliu Postolachi est lui aussi issu du centre de formation du PSG. Toutefois, l’attaquant moldave a préféré aller tenter sa chance loin du club de la capitale. Ainsi, en 2019, Postolachi fait le choix de rejoindre le LOSC. Un choix sur lequel est revenu le principal intéressé.

« Je recherchais du temps de jeu »

Désormais à Grenoble, Virgiliu Postolachi est revenu sur sa carrière pour le site de la Ligue 2. Il s’est alors confié sur sa décision de quitter le PSG pour le LOSC. « Je recherchais du temps de jeu et comme j’étais jeune, je me suis dit : « Pourquoi pas aller dans un autre club en France ? » Je considérais que Lille pouvait être une bonne option et j’ai signé. Tout s’est bien passé au départ, puis le Covid est arrivé et tout s’est compliqué », a expliqué Postolachi.

Après le PSG, ça vire au calvaire

Une fois au LOSC, ça s’est donc compliqué pour le Moldave. A ce propos, Virgiliu Postolachi a confié : « Le LOSC a acheté un club en Belgique et y a envoyé tous ses meilleurs jeunes, dont moi, pour continuer de se développer. Une fois là-bas, ça s’est bien passé lors des premières journées, puis petit à petit des problèmes se sont accumulés. En janvier 2021, j’ai été prêté au Danemark pour six mois, puis quand je suis revenu, le club était descendu en deuxième division belge avant de faire faillite à l’issue de la saison 2021/22. J’étais dans une mauvaise passe de ma carrière. J’étais entré dans un engrenage négatif. C’était très dur mentalement. Je ne marquais pas et j’étais tout le temps frustré. Puis mon passage au Danemark ne m’a pas aidé du tout. C’était un football très direct, dans le combat et je n’ai pas réussi à m’illustrer. J’ai passé deux années très difficiles mais je n’ai pas lâché ! ».

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