Fortement agacé par les questions des journalistes sur les gros souci extrasportifs que rencontre actuellement le PSG, Christophe Galtier s’est laissé aller à un incroyable coup de gueule ce vendredi en conférence de presse, reprochant aux médias de ne jamais parler football et de raconter des mensonges.
Entre les envies de départ de Kylian Mbappé en raison des promesses non-tenues par Nasser Al-Khelaïfi en raison de sa prolongation de contrat en mai dernier ainsi que l’enquête publiée par Mediapart et révélant une intention de nuire à Mbappé via les réseaux sociaux, le PSG vit décidément une semaine particulièrement agitée. Un enchainement de polémiques extrasportives sur lesquelles Christophe Galtier était bien évidemment attendu ce vendredi, en conférence de presse, avant d’affronter l’OM dimanche en championnat.
Mercato - PSG : Galtier sort du silence sur l'incroyable polémique Mbappé https://t.co/5iCVA4mUxt pic.twitter.com/GTz4tvV2Uy
— le10sport (@le10sport) October 14, 2022
« Quoi que je puisse vous dire, vous ne me croyez pas »
Mais très rapidement, l’entraîneur du PSG a semblé exaspéré par les questions sur toutes ces polémiques et il l’a clairement fait savoir aux journalistes présents : « Ce que j'ai envie de vous dire, c'est que vous ne me parlez jamais football. Je suis ici, je suis l'entraîneur du PSG, j'en suis fier et heureux, et finalement, je m'aperçois que match après match, conférence après conférence, on doit parler 1m30 de football sur une conférence de 10 minutes. Et quoi que je puisse vous dire, vous ne me croyez pas puisque vous écrivez le contraire, vous dites le contraire. Je vous dit que ça se passe bien, qu'ils sont solidaires et vous écrivez le contraire. Je ne suis pas là pour commenter des rumeurs », a sèchement lancé Galtier.
Galtier nie les tensions dans le vestiaire
L’entraîneur du PSG poursuit : « On pourrait peut-être recentrer la conf sur le sportif. Ca se passe bien dans le vestiaire. On se fait peut-être pas des bisous tous les jours mais ça se passe très bien. Et mieux qu'ailleurs ». Voilà qui est clair.