Cet été, le PSG devrait changer de gardien en remplaçant Gianluigi Donnarumma par Lucas Chevalier. Le jeune portier du LOSC devrait rallier Paris dans un transfert estimé à 50M€ (bonus compris). Pour le consultant Patrick Guillou, le profil de gardien du Français est totalement adapté aux exigences de Luis Enrique à ce poste.
Une véritable révolution approche au PSG. Présent au club depuis 2021, Gianluigi Donnarumma devrait quitter le club cet été. Après avoir vu une première offre de prolongation être refusée, le club de la capitale a décidé de se séparer du portier italien afin que ce dernier ne quitte pas le club libre de tout contrat l’été prochain. Et afin de le remplacer, les dirigeants parisiens ont décidé de miser sur Lucas Chevalier.
« Enrique veut exactement ce genre de gardien »
Âgé de 23 ans, le Français sort d’une belle saison réalisée avec le LOSC. S’il lui faudra forcément passer un cap au PSG, Lucas Chevalier pourrait être une bonne prise pour le club parisien, et pour Luis Enrique qui s’est d’ailleurs déjà entretenu avec lui afin de lui présenter son projet de jeu. Pour Patrick Guillou, cela ne fait aucun doute, l’entraîneur parisien va se régaler avec ce profil. « Chevalier est très bon et est suivi par de nombreux clubs de haut niveau. Il a d'excellents réflexes et est très bon dans les face-à-face. Chevalier est très sûr et calme avec ses pieds, Enrique veut exactement ce genre de gardien qui participe aussi au jeu », a confié le consultant de BeIN Sport auprès de Sky Germany.
« Il a réalisé des performances phénoménales »
« La saison dernière, il a réalisé des performances phénoménales lors des matchs importants de la Ligue des champions. Jusqu'à présent, il a su gérer la pression dans sa jeune carrière. Chevalier interprète le rôle de gardien de but comme celui d'un libero. Il ferme l'espace afin que les défenseurs centraux puissent se positionner plus haut. Chevalier prend toujours beaucoup de risques sur sa première passe courte, mais il sait aussi très bien faire des passes lobées vers ses défenseurs latéraux », conclut Guillou.