Désigné comme une star précoce du centre de formation du FC Barcelone, Kays Ruiz-Atil a ensuite débarqué au PSG où il a fait ses débuts professionnels. Doté d'un talent fou remarqué dans ses jeunes années, il fait finalement un passage éclair dans la capitale, lui qui refusait de prolonger. A l'époque, tout le monde était d'accord pour dire qu'il avait de grandes qualités mais les critiques à propos de son manque de sérieux ont encore pointé le bout de leur nez récemment. Kays Ruiz-Atil a tenu à répondre à Angel Di Maria, son ancien coéquipier.
Dans une émission, Ander Herrera, ancien joueur du PSG également, faisait part d'une anecdote concernant Kays Ruiz-Atil à Paris. Son talent faisait beaucoup parler et à l'époque, Angel Di Maria avait prédit que sa carrière ne durerait pas à ce niveau-là, critiquant notamment sa manière de s'habiller, son goût pour les montres de luxe ou encore sa voiture. Mais Kays Ruiz-Atil a peut-être une autre version des faits à donner.
Angel Di Maria auteur d'un gros mensonge ?
Nourri de regrets après cette époque où il pensait enfin avoir débarqué au sommet, Kays Ruiz-Atil dit que sa vision des choses a changé et qu'il est toujours attentif aux critiques. « Je vois, j’entends ce qu’il se dit. Ça me fait sourire, ceux qui me critiquent aujourd’hui sont souvent les mêmes qui me complimentaient hier. J’étais jeune, j’ai fait des erreurs comme tout le monde, je les ai assumées et je ne vis pas dans le passé. Je me concentre sur le futur. Le reste, je le laisse derrière moi. Tout le monde a son avis sur moi, cependant, Allah seul sait. Faut passer à autre chose » écrit-il sur Instagram. Peut-être un message en réponse aux propos d'Angel Di Maria.
Un gros flop au PSG
Recruté par le PSG en 2015 dans son centre de formation, un transfert qui fera naître ensuite des controverses, Kays Ruiz-Diaz était peut-être trop jeune quand il a débuté sa carrière professionnelle. Finalement le milieu de terrain n'aura joué que 7 petits matches avec le PSG. Depuis l'année dernière, il tente de se relancer chez les Francs Borains, club de deuxième division belge, loin des projecteurs.