PSG : Barcelone s’est fait avoir, il balance tout !
Thomas Bourseau

Bradley Barcola est en grande forme ces dernières semaines et l’a notamment démontré lors de la double confrontation face au FC Barcelone en quarts de finale de la Ligue des champions. Instigateur de l’exclusion de Ronald Araujo sur retour, Barcola s’est confié au site de l’UEFA sur cet évènement majeur de ce choc. 

Le 16 avril dernier, le PSG a écrit une nouvelle page d’histoire du football français en Ligue des champions. En effet, le ParisSaint-Germain de LuisEnrique est parvenu à se qualifier pour le tour suivant en C1 après avoir perdu à la première manche à domicile face au FCBarcelone (2-3 et 4-1). Et ce, notamment grâce à BradleyBarcola qui a provoqué le tournant du match dès la 29ème minute de jeu lorsque le FCBarcelone menait 1 but à 0 à Montjuic contre le PSG

Barcola : «Soit il fait faute, soit je suis en un contre un»

« En fait, je savais qu'il allait très vite Ronald Araujo. Du coup, là, sur cette action, je me suis dit que j'allais passer devant lui. Parce qu'au match aller, j'avais eu une action un peu similaire, mais je n'étais pas bien passé devant lui, donc il m'avait rattrapé. Là, je me suis dit que je vais directement passer devant lui. Au moins, je sais qu'il ne pourra rien faire. Soit il fait faute, soit je suis en un contre un. Au final, il fait cette faute. Après, ça nous déclenche directement et ça nous fait beaucoup de bien ». a confié Bradley Barcola en interview pour le site de l’UEFA à quelques heures de la demi-finale aller entre Dortmund et le PSG mercredi soir. 

«Honnêtement, même pas un petit peu de doute»

Au moment d’expliquer ses émotions et son ressenti lorsque Raphinha a ouvert le score en faveur de Barcelone dès la douzième minute de jeu, BradleyBarcola a remis les pendules à l’heure. « Honnêtement, même pas un petit peu de doute. Souvent, quand on prend un but, j'ai un réflexe de regarder mes coéquipiers, pour voir leur tête. Là, je n'ai vu aucun doute. Je n'ai même pas senti un peu de peur. Ça, directement, ça rassure. Je me suis dit que c'est parti. On est tous dans le même état d'esprit. Je pense que voilà pourquoi on a réussi à faire cette petite remontée ». Et au final, le reste appartient à l’histoire. 

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