DJ Snake, star mondiale de la musique électronique, s’est prononcé sur sa passion pour le PSG et l'expérience unique de son concert au Parc des Princes. Né à Paris et fervent supporter du club depuis 1995, le compositeur reconnaît que ce grand attachement l’a probablement aidé à trouver un accord avec la direction.
Comme à chaque grand match du PSG, la « corbeille » du Parc des Princes sera bien remplie ce mercredi soir. Plusieurs célébrités prendront part dans l’emplacement qui leur est réservée dans l’enceinte parisienne, à l’instar de DJ Snake, vrai passionné du club. « Je suis très chauvin comme je suis né à Paris, c’était super naturel de choisir ce club. J’ai grandi avec le PSG que je soutiens depuis 1995, a confié la star planétaire dans un entretien accordé au Parisien. J’ai un souvenir de match très précis. À l’époque, j’étais en CM1 et un pote m’a emmené avec son papa au Parc des Princes. Je n’aimais pas forcément le foot, mais j’ai été impressionné par l’ambiance. Depuis, je n’ai jamais quitté le PSG. »
« Je me suis fait le kif de dormir dans mon stade »
Et quoi de mieux pour un amoureux du PSG comme DJ Snake que de se produire au Parc des Princes. Un rêve réalisé le 11 juin 2022 que le natif de Paris n’est pas près d’oublier : « C’était la plus belle chose au monde. La semaine du concert, j’ai peut-être dormi quatre nuits dans le vestiaire et fait installer un lit. J’étais comme un gamin dans un magasin de jouets. Je me suis fait le kif de dormir dans mon stade. »
« Le fait que je sois un supporter acharné m’a bien aidé à obtenir l’accord du club. »
Aux yeux de DJ Snake, le Parc des Princes est unique. « Ce stade dégage quelque chose de spécial. Une ambiance que d’autres n’ont pas, confie le compositeur de 38 ans au Parisien. Et pourtant, c’est un stade qui est assez vieux, qui n’est pas très « bling-bling ». Il n’y a pas de technologies impressionnantes comme il peut y en avoir ailleurs. Mais il a un truc spécial, l’acoustique est très bonne. Et les clubs de supporters, les ultras entretiennent son âme. Quand j’y ai joué, cela faisait douze ans qu’il n’y avait pas eu de musique. Le fait que je sois un supporter acharné m’a bien aidé à obtenir l’accord du club. »