L’incroyable deal annulé avec le PSG !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Si depuis 2023, le PSG s’entraîne au sein de son Campus flambant neuf, il y a une dizaine d’années, les dirigeants parisiens souhaitaient déjà quitter le Camp des Loges. Dans son dernier livre, le maire de Versailles François de Mazières a révélé comment il avait recalé les dirigeants franciliens qui souhaitaient s’implanter dans la prestigieuse ville des Yvelines.

En juillet 2023, Luis Enrique débarquait au PSG. Mais l’arrivée du technicien espagnol n’était pas la seule grande nouvelle pour le club parisien, qui en a également profité pour inaugurer son « Campus PSG », un nouveau centre d’entraînement flambant neuf. Pourtant, comme le révèle le Parisien ce dimanche, cela faisait déjà de nombreuses années que les dirigeants franciliens envisageaient de quitter le Camps des Loges, jugé non-adapté pour un club de très haut niveau.

Le PSG a voulu s’implanter à Versailles

Dans son livre « Pour une ville belle », le maire de Versailles François de Mazières a révélé comment le PSG l’avait alors approché dans l’optique de bâtir son centre. « Les responsables du club de foot du Paris-Saint-Germain sont venus me voir pour savoir s’ils pouvaient espérer acquérir le terrain de l’ancienne caserne Pion. Jouxtant le parc du château de Versailles, sa localisation exceptionnelle et prestigieuse les intéressait vivement pour leur centre de formation », a confié ce dernier, qui n’a pas donné de réponse positive aux hautes sphères du PSG.

« Nous serions entrés dans des logiques financières et diplomatiques »

« Pour susciter mon adhésion, sachant l’intérêt que je portais à la qualité architecturale de notre ville, ils me promirent de pouvoir travailler avec les meilleurs architectes, le Qatar ne comptant pas son argent. » Après consultation de ses adjoints, François de Mazières tranche : « Leur réaction négative me confirma dans mon premier jugement, et je ne donnais pas suite à cette proposition en considérant que nous serions entrés dans des logiques financières et diplomatiques où la ville ne pourrait plus maîtriser grand-chose », conclut-il.

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