Samedi, le PSG défiait le Bayern Munich en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs et le club a fini par s'imposer (2-0). Face à un adversaire qui ne leur réussissait pas forcément ces dernières années, les hommes de Luis Enrique prouvent qu'ils ont clairement passé un cap cette année. Pierre Ménès a été particulièrement surpris par le niveau affiché.
En disputant un match difficile face à un adversaire désigné parmi les grands favoris de la compétition, le PSG s'offre le droit de disputer une demi-finale de gala face au Real Madrid lors de la Coupe du monde des clubs. Sur le papier, le club avait de quoi s'imposer mais avec tous les efforts consentis ces derniers mois, un certain relâchement n'aurait choqué personne. Pierre Ménès a été bluffé par le niveau de jeu pour un match disputé après une saison déjà très longue.
Le PSG encore au rendez-vous
Auteur d'une saison époustouflante, le PSG a réussi à décrocher la première Ligue des champions de son histoire. Mais les hommes de Luis Enrique n'ont pas envie de ménager leurs efforts et veulent continuer à gagner. « C'est étonnant un tel niveau de match en juillet et ça montre que les deux équipes ont pris ce match très au sérieux. Il y avait une motivation absolue de la part des deux équipes. Cela a donné un match de très haut niveau » commente Pierre Ménès sur sa chaîne YouTube.
Le PSG au bout ?
Engagé dans cette compétition au nouveau format, le PSG n'a pas caché ses ambitions : décrocher un nouveau trophée. Les hommes de Luis Enrique n'en sont plus qu'à deux matches et il faudra continuer de déployer un haut niveau de jeu. « Le Bayern Munich peut avoir des regrets car ils ont dominé en première mi-temps. Ils étaient plus puissants offensivement. Le PSG a montré une solidité offensive tout à fait étonnante pour une équipe qui a connu des soucis en Ligue 1, qui sont visiblement des soucis de concentration. En deuxième mi-temps, le PSG a augmenté son niveau de pressing, avec un Joao Neves qui est monté en puissance. Les Parisiens se sont créés plus d'occasions en seconde mi-temps » poursuit Ménès.