«Je n’ai pas de mots», le vestiaire du PSG craque
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Auteur d’un début d’année très poussif, le PSG a confirmé ses difficultés en concédant le nul au Parc des Princes contre Reims (1-1) à cause d’un but encaissé dans les dernières secondes. Après le match, Danilo Pereira a poussé un coup de gueule et interpelle ses coéquipiers.

En ce début d'année, le PSG confirme ses difficultés. En effet, les Parisiens ont concédé le nul à la dernière minute contre Reims au Parc des Princes (1-1) et n'ont donc pris que 4 points en 2023. Après la rencontre, Danilo Pereira a ainsi poussé un gros coup de gueule qui confirme que la situation est tendue.

Le coup de gueule de Danilo

« Non, ça ne me satisfait pas. Nous avons raté beaucoup de choses dans ce match. Nous ne pouvons pas concéder un tel but, alors que nous étions tranquillement avec le ballon au milieu de terrain. Nous le perdons et encaissons un but après deux touches à peine. Je n’ai pas de mots pour décrire un match comme celui-ci. Nous sommes déçus », lance l’international portugais au micro de Prime Vidéo avant d’en rajouter une couche.

«Ça va être difficile»

« Je pense que nous devons être dans un état d’esprit un peu différent. Comme moi, nous devons travailler beaucoup plus, souffrir et être ensemble. Nous sommes une grande équipe, mais nous devons être capables de souffrir quand il le faut. Si nous ne faisons pas cela, ça va être difficile. Reims a été très bien. Ils ont mis beaucoup de pression et ont été très compacts. À la mi-temps,  le coach a changé de système et mis en place un losange (4-4-2). Nous avons aussi mis beaucoup plus d’envie, d’intensité et de mouvement. Nous avons rapidement marqué mais l’expulsion a conditionné un peu la fin du match. Ce n’est pas une excuse pour autant. Nous devons faire plus », ajoute Danilo Pereira.

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