Incroyable, il a proposé un combat à Neymar au PSG
Thibault Morlain

Aujourd’hui au Qatar, Andy Delort a passé de nombreuses années en Ligue 1. Et notamment lorsqu’il était à Montpellier, l’international algérien s’est vivement embrouillé avec deux joueurs du PSG : Neymar et Leandro Paredes. Entre les trois, c’était même très chaud. Un clash sur lequel est revenu Andy Delort, allant jusqu’à dire qu’il massacrait le Brésilien et l’Argentin dans un combat.

Lors du dernier mercato estival, Neymar et Leandro Paredes ont quitté définitivement le PSG. N’étant plus désirés dans la capitale, le Brésilien et l’Argentin ont fait leurs valises pour rejoindre respectivement Al-Hilal en Arabie Saoudite et l’AS Rome en Serie A. C’est donc la fin de l’aventure au PSG pour eux et on peut notamment garder certains souvenirs de leurs passages à Paris. Il y a eu ce gros clash avec Andy Delort quand ce dernier était à Montpellier. Les 3 étaient loin d’être les meilleurs amis du monde. 

« T’as l’impression ce n’est pas un footballeur »

Quand les trois étaient encore en Ligue 1, ça chauffait sur le terrain. Andy Delort était notamment très remonté contre Leandro Paredes à l’époque des tensions avec Neymar également. En effet, dans des propos accordés à Colinterview, l’international algérien raconte : « Paredes ? T’as l’impression ce n’est pas un footballeur, c’est un garde du corps de Neymar. T’as l’impression le mec ne jouait pas au football, il était là, s’il y a embrouille, il faut qu’il les protège. C’est ce que je lui ai dit ».

« Je leur avais proposé un combat, les deux contre moi »

Il n’empêche qu’aujourd’hui, Andy Delort, Neymar et Leandro Paredes ont visiblement fait la paix. Cependant, l’ancien attaquant de Montpellier était prêt à en découdre avec le Brésilien et l’Argentin : « Mais après, on a discuté, même avec Neymar, ça allait mieux. Un an et demi, deux ans après, ça allait mieux. Mais c’est vrai, je leur avais proposé un combat, les deux contre moi. Deux contre un. C’est sûr je les massacre, les deux contre moi dans une cage je les massacre. Mais là ça y est, c’est fini ».

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