«Il a été agressé par Galtier», l’autre histoire du choc entre Messi et Cristiano Ronaldo
Thibault Morlain

Ce jeudi, le PSG s’est imposé face à une sélection des meilleurs joueurs du championnat saoudien (5-4). Une rencontre très suivie à travers le monde entier en raison des retrouvailles entre Lionel Messi et Cristiano Ronaldo. Mais sur le banc de touche, on a pu également voir Christophe Galtier face à Marcelo Gallardo. Et entre les deux, le passif est houleux. 

Tout le monde avait les yeux rivés du côté de l’Arabie Saoudite. En effet, ce jeudi, on avait la possibilité de revoir Lionel Messi face à Cristiano Ronaldo à l’occasion d’une rencontre entre le PSG et une sélection des meilleurs joueurs du championnat saoudien. Et au terme des 90 minutes, c’est le club de la capitale qui s’est imposé. Un succès pour Christophe Galtier face à Marcelo Gallardo, l’entraîneur de cette sélection des joueurs du championnat saoudien. Deux hommes qui se connaissent très bien pour avoir joué l’un contre l’autre en Ligue 1 quand ils étaient joueurs il y a quelques années. 

De la jalousie contre Gallardo ? 

Christophe Galtier face à Marcelo Gallardo, ça avait fait des dégâts en avril 2000 à l’occasion d’un OM-Monaco. Pour So Foot, Pablo Contreras avait alors révélé : « Marcelo m'a raconté que dans le tunnel, il avait été agressé par De La Pena, Luccin et Galtier. D'après-lui, c'est De La Pena qui a dégainé le premier. Ils s'étaient un peu chambrés, à l'époque Marcelo était le meilleur joueur du championnat. Plus tard, j'ai joué avec Peter à Vigo et il m'a confirmé tout ça en me disant que De La Pena était agacé par Marcelo, qu'il était un peu jaloux ». 

« Moi, je ne l'ai jamais pris par les cheveux »

Mais voilà que Christophe Galtier n’avait pas la même version à propos de cet accrochage avec Marcelo Gallardo. Le désormais entraîneur du PSG avait expliqué : « S'il y a un gars qui a hyper protégé tout le monde pour éviter qu'il y ait des incidents, c'est moi. Je suis l'un des premiers à être rentré dans le tunnel pour éviter que ça parte, et c'est parti. Marcelo, c'était un très grand joueur, mais il pouvait faire péter les plombs à son adversaire. Il crachait à la figure, il insultait tout le monde. J'ai dit à la sécurité : "Mettez-vous autour de lui, ça va partir." Il pense que je l'ai frappé par-derrière, il m'insulte et me crache à la figure. Il y avait trois personnes à côté de lui à ce moment-là. Et dans ces trois-là, il y en a deux qui l'ont attrapé. Il a fini en morceaux, mais moi, je ne l'ai jamais pris par les cheveux ». 

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