«C’est ouf» : Un champion du monde de retour au PSG !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Ce mardi soir lors du huitième de finale de la Coupe de France contre Le Mans (2-0), Presnel Kimpembe a joué les dix dernières minutes de la partie, réalisant ainsi son grand retour après deux ans d’absence. Le champion du monde 2018 est revenu sur cette longue attente et cette soirée particulière.

Presnel Kimpembe voit enfin le bout du tunnel. 709 jours après sa dernière apparition sur un terrain, le champion du monde tricolore de 29 ans a enfin rejoué avec le PSG à l’occasion du huitième de finale de Coupe de France contre Le Mans (2-0) mardi soir, disputant les dix dernières minutes de la partie. Le chemin est encore long pour Kimpembe, qui savoure cette étape décisive dans son processus de retour.

« Je suis un guerrier, un soldat »

« Ça faisait longtemps que je n’avais pas connu une émotion comme celle-ci. C’était particulier. C’était très chaleureux que tout le stade, même les supporters du Mans, m’aient applaudi, acclamé. Je suis très content d’être de retour ce soir, et encore plus avec la victoire, a savouré Presnel Kimpembe au micro de beIN Sports. C’était très long, comme vous l’avez dit. J’ai essayé de me préparer au mieux pour revenir au plus vite. Ça a été long, ça a mis le temps qu’il fallait, mais je suis un guerrier, un soldat. Franchement, c’était beaucoup d’émotion ce soir. Pouvoir reprendre ce qu’on aime le plus après deux ans d’arrêt, c’est un énorme plaisir. C’est ouf, c’est ouf. »

« Dans la période que j’ai traversée, j’ai eu la chance d’avoir des coéquipiers qui m’ont toujours poussé »

Durant son calvaire long de deux ans, Presnel Kimpembe a pu compter sur le soutien de ses coéquipiers. « Ils m’ont toujours soutenu, reconnaît-il, rapporté par CulturePSG. Ce sont des coéquipiers mais aussi des potes, voire des frères pour certains. Nous sommes unis, nous formons une famille. Dans la période que j’ai traversée, j’ai eu la chance d’avoir des coéquipiers qui m’ont toujours poussé. Ils ont su être derrière moi quand il le fallait. »

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