Étant actuellement sur une série de 13 matchs sans défaite toute compétition confondue, le PSG a largement dominé Brest ce samedi après-midi en Ligue 1 (2-5). Si le club parisien est dans une toute autre dynamique, notamment grâce à un match exceptionnel contre Manchester City en Ligue des Champions, Bixente Lizarazu n’est pas encore totalement convaincu de la formation de Luis Enrique.
Le PSG est dans une forme resplendissante. Les Rouge et Bleu enchaînent les bons résultats, eux qui ont assuré leur qualification pour les barrages de la Ligue des Champions mercredi soir avec une victoire brillante acquise sur la pelouse de Stuttgart (1-4). Alors que Paris affrontera Brest pour une place en 8ème de finale de la C1, le PSG a largement dominé le club breton ce samedi.
« Là on va être face à un calibre et l’on va vraiment pouvoir juger ce Paris Saint-Germain »
Grâce à un Ousmane Dembélé auteur d’un deuxième triplé consécutif, le PSG a pris le large face à Brest en championnat (2-5), et s’affirme comme le grand favori de cette double confrontation qui se déroulera les 11 et 19 février prochains. Pour autant, Bixente Lizarazu n’est pas encore convaincu de la formation de Luis Enrique. « Ça dépend par rapport à qui on va juger le Paris Saint-Germain. Si par exemple le PSG se qualifiait pour les 8e de finale de la Ligue des champions, après Brest il y aura le FC Barcelone ou Liverpool. Là on va être face à un calibre et l’on va vraiment pouvoir juger ce Paris Saint-Germain », a prévenu le champion du monde 1998 ce dimanche lors de l'émission Téléfoot.
« J’ai envie de les voir contre une grande équipe »
« Moi je ne peux pas les juger sur cette pauvre équipe de City. Ce n’est pas du tout l’équipe qui a été dominante il y a deux ans et qui a gagné la Ligue des champions. Le PSG a eu des difficulté en C1, là ils sont dans une période très faste, ils marquent beaucoup de but mais encore une fois par rapport à qui… J’ai envie de les voir contre une grande équipe, et je pense qu’en 8e de finale, s’ils se qualifient, ça sera le cas », conclut Lizarazu.