Vente OM : Surprise, Vézirian dénonce un mensonge sur l'Arabie Saoudite
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Depuis plusieurs mois, le sujet de la vente de l'OM met le feu à Marseille. Il faut dire qu'à plusieurs reprises, un énorme projet a été promis aux supporters du club phocéen basé sur l'arrivée de l'Arabie Saoudite qui serait disposée à faire un très gros investissement. Mais Thibaud Vézirian, pourtant très actif sur le sujet, révèle néanmoins une fake news dans ce feuilleton.

Une émission en Arabie Saoudite fait le buzz

En effet, la vidéo d'une émission en Arabie Saoudite semblait annoncer l'intérêt prononcé du PIF pour le rachat de l'OM, précisant même qu'une officialisation de la vente du club pourrait être annoncée rapidement. Néanmoins, le journaliste Ali Al-Yousef, présent dans cette émission, a tenu à rectifier les propos tenus à l'antenne, alors que la vidéo avait mis le feu sur les réseaux sociaux. « La traduction n'est pas bonne !! », lance-t-il sur X avant de préciser que « ce qui a été dit dans notre émission aujourd'hui est en bref : Les informations (officielles) du rachat viennent seulement de la France, jamais l'invité n'a pas dit qu'il y aura quelques choses dans 2 mois (sachant que notre invité est bien le correspondant de l'AFP en Arabie saoudite), jamais l'invité n'a pas dit que l'information est sous embargo !! » Il conclut finalement en disant qu'il « espère que le rachat se voit un jour mais sur le plan officiel en Arabie saoudite, rien ne s'est fait ».

«La traduction était mauvaise»

Une version confirmée par Thibaud Vézirian. « Lorsque plusieurs personnes m’ont envoyé cette vidéo, je leur ai dit que la traduction était mauvaise, et qu’il ne fallait pas la prendre pour argent comptant. Et Ali Al-Yousef a raison, les informations sur la vente de l’OM viennent de France, de mon enquête, de Bruno Blanzat de France Bleu et de David Berger de Canal+ », assure le journaliste pour TeamFootball

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