OM - Malaise : Payet, Benedetto… Villas-Boas justifie ses choix forts !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Au moment de composer son équipe pour affronter Manchester City ce mardi, André Villas-Boas avait fait de grands choix en décidant de mettre Dimitri Payet et Dario Benedetto sur le banc de touche. Des choix expliqués par l’entraîneur de l’OM.

Le miracle n’aura finalement pas eu lieu au Vélodrome pour l’OM face à Manchester City (0-3). Pour les hommes d’André Villas-Boas, cela s’est donc soldé par une deuxième match en deux matchs de Ligue des Champions. Pourtant, l’entraîneur phocéen avait un plan pour tenter de contrecarrer l’équipe de Pep Guardiola. en effet, Villas-Boas s’était présenté au coup d’envoi dans 5-3-2 très défensif avec également des choix forts devant puisque le Portugais avait choisi de démarrer avec Dimitri Payet et Dario Benedetto sur le banc de touche. Cela n’a donc finalement pas marché…

« Le choix était lié à la stratégie du match »

Au sortir de cette rencontre face à Manchester City, André Villas-Boas a bien évidemment été interrogé sur ses choix avec Dimitri Payet et Dario Benedetto. L’entraîneur de l’OM s’est alors expliqué. Rapporté par Le Phocéen, il a confié : « Le choix était lié à la stratégie du match, entrer dans le dos de l'adversaire, chercher la profondeur. En premier, on avait pensé à un 5-2-3, mais on est revenu à ce milieu à trois comme dans le losange. Pour les deux attaquants, on a choisi Thauvin qui est dans un bon moment et Nemanja pour sa vélocité. En première mi-temps, on a eu un peu de mal à sortir du contre-pressing de City. Le but était d'aller chercher le dos de l'adversaire, du latéral. On a fait mieux en 2e mi-temps, en maîtrisant la possession pour sortir de la première phase, ce qui nous a permis d'aller un peu plus haut avec Sakai et Amavi, les pistons, qui sont fondamentaux dans un système à cinq. Le timing du 2e but a tué notre confiance ».

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