Mercato - OM : Un joueur part au clash, l’offensive lâchée pour son transfert
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

L'Olympique de Marseille a encore connu de grands changements durant le mercato estival, avec douze arrivées et plusieurs départs. Poussé vers la sortie, Chancel Mbemba, non utilisé par Roberto De Zerbi, n'a pas trouvé preneur et reste un point de tension. Le Stade Rennais s'est renseigné sur sa situation, tandis que le défenseur espère un transfert en janvier pour relancer sa carrière.

Durant l’intersaison, l’effectif de l’Olympique de Marseille s’est métamorphosé avec l’arrivée de douze nouveaux joueurs et les départs de plusieurs éléments, à l’instar de Samuel Gigot, Jordan Veretout ou encore Pau Lopez. Mais tous les « indésirables » n’ont pas trouvé preneur sur le mercato. Chancel Mbemba est resté dans la cité phocéenne mais n’est pas utilisé par Roberto De Zerbi. La relation entre le joueur et le club est explosive, avec notamment deux mises à pied.

Rennes se renseigne sur Mbemba

Une situation qui n’a pas laissé indifférent le Stade Rennais si l’on en croit L’Equipe. La formation dirigée par Jorge Sampaoli se serait en effet renseigné sur Chancel Mbemba, sans aller plus loin. Ce n’est pas la première fois que les dirigeants bretons ouvrent ce dossier, déjà à l’étude durant l’été.

« J’espère partir en janvier »

Chancel Mbemba est engagé avec l’OM jusqu’en 2025 et espère profiter du mercato hivernal pour mettre fin à son aventure marseillaise. « Moi, je travaille. Quand le club pense à moi, gloire à Dieu. Quand le club ne pense pas à moi, la vie continue, disait-il dernièrement sur Canal+ Afrique. Mais on ne va pas baisser la tête, on va rester concentré et continuer à travailler […] J’ai un contrat avec Marseille. J’espère (partir) en janvier, quand Dieu le veut. Mais quand Dieu ne décide pas… Ce sont les humains. Les humains sont compliqués, chacun regarde ses intérêts. Mais le plus important, c’est de faire notre boulot pour satisfaire tout le monde. »

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