Passé par l'Equateur, l'Allemagne ou encore l'Espagne, Pervis Estupiñán prend cette fois la direction de l’Italie et du mythique Milan AC. L’ancien joueur de Brighton n’a pas hésité au moment de dire oui à ce nouveau défi, qu’il considère comme l’aboutissement d’un rêve d’enfant. Une arrivée qui porte aussi, en filigrane, la marque de Roberto De Zerbi.
Transféré cet été au Milan AC pour remplacer Theo Hernandez, Pervis Estupiñán n’a pas caché son enthousiasme à l’idée de rejoindre l’un des clubs les plus emblématiques d’Europe. Le latéral gauche équatorien, qui évoluait jusqu’ici à Brighton en Premier League, retrouve ainsi un championnat qu’il n’a jamais connu, mais dont il a souvent entendu parler sous les ordres de Roberto De Zerbi. Lors de son passage à Brighton, Estupiñán a déjà entendu l'actuel entraîneur de l'OM encenser la Serie A.
Les mots de De Zerbi résonnent encore
« Si De Zerbi m’a conseillé de venir ? Je n'ai pas eu l'occasion d'en parler avec lui, mais lorsque je jouais sous ses ordres à Brighton, il parlait toujours en bien du championnat italien. Il disait que les supporters vivent pour le football, qu'ils sont vraiment passionnés. Il disait que c'était assez similaire à l'Amérique du Sud. En tant que Sud-Américain, ça me rend fier d'entendre ça » a confié Estupiñán au média officiel du Milan AC.
Il annonce la couleur
Des mots forts, portés par une volonté évidente de s’imposer rapidement à San Siro. Le joueur de 27 ans révèle également que l’intérêt du Milan AC n’a laissé aucune place au doute dans son esprit. « Je suis vraiment heureux, vraiment excité. C'était un rêve d'enfant de jouer dans un si grand club. Je suis tellement heureux que ce rêve soit devenu réalité. Tout le travail acharné a porté ses fruits et maintenant, j'ai hâte de commencer et de réussir ici. Quand mon agent m'a annoncé que Milan s'intéressait à moi, je lui ai dit que ce serait une excellente idée. C'est un club immense, tout le monde le sait. On est attentif lorsqu'on reçoit une offre de Milan. Je suis ravi et j'ai hâte de commencer. Je veux déjà commencer » a lâché Estupiñán.