Depuis quelques mois, un nouveau trio a pris le pouvoir à l'OM et dirige le club phocéen. Ainsi, le président Pablo Longoria est désormais épaulé par Medhi Benatia et Fabrizio Ravanelli. Un trio qui plait grandement à Daniel Riolo qui estime d'ailleurs qu'à ce niveau-là, l'OM n'a rien à envier au PSG. Au contraire même !
Sous l'impulsion de Pablo Longoria, l'OM a une nouvelle direction qui semble a parfaite harmonie. Il faut dire que le président marseillais s'est associé avec Medhi Benatia, nommé conseiller sportif, et Fabrizio Ravanelli qui a fait son retour à l'OM en tant que conseiller institutionnel et sportif. Un trio qui semble parfaitement fonctionner comme le souligne Daniel Riolo qui estime même que le PSG pourrait en être envieux.
Un coup dur en perspective pour l'OM ? Des mouvements essentiels se profilent pour alléger la masse salariale. 🔄
— Le 10 Sport OM (@le10sport_om) December 19, 2024
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«L'image m'a claqué à la figure»
« Je ne sais plus lors de quel match c'était, mais je les ai vus tous les trois côte à côte en tribunes, l'image m'a claqué à la figure. Tous les trois ont bossé à la Juve, un club important dans ma famille. Pablo Longoria a été frappé par ses années passées à Turin (2015-2018) et je sais à quel point il a aimé travailler là-bas. Ravanelli, en tant que joueur dans les années 90 (1992-1996), je n'en parle même pas, et Medhi Benatia (2016-2019) le dit lui-même : il a été marqué par la façon dont tout est organisé, comme c'est aussi le cas au Bayern Munich, où il est également passé (2014-2016) », lâche le journaliste de RMC auprès de La Provence, avant de poursuivre.
«Ce n'est pas celle que dégage au PSG Nasser al-Khelaïfi et Luis Campos»
« Ces clubs-là sont des institutions. Et quand je les ai vus réunis comme cela, je me suis dit : "Ils se sont bien trouvés". Peut-être qu'à un moment Pablo (Longoria) a été un peu trop seul dans ce club pour présenter une institution forte, car il a été en conflit avec d'autres dirigeants... En tout cas maintenant, ça a l'air de filer droit ! Peut-être que ça ne tiendra pas, ça ne fonctionnera pas mais en tout cas la volonté d'unir les forces vives du club est présente. Et je me répète, l'image est forte, ce n'est pas celle que dégage au PSG Nasser al-Khelaïfi et Luis Campos, par exemple », ajoute Daniel Riolo.