F1 : Signature automatique, Red Bull régale un pilote français !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

C'était le dernier nom que l'on attendait pour boucler la grille 2025. Isack Hadjar a effectivement été officialisé comme pilote Racing Bulls en vue de la saison prochaine, et les détails de son nouveau contrat ont déjà fuité. Et clairement, le Français pourrait bien s'inscrire sur le long terme dans la structure Red Bull si jamais il est performant. Explications.

La grille de 2025 est enfin complète ! Après plusieurs semaines d'attente, Red Bull a mis fin au suspens en annonçant le départ de Sergio Pérez, remplacé par Liam Lawson. Ce dernier libère donc son baquet chez Racing Bulls qui sera désormais occupé par le Français Isack Hadjar. Et les détails de son premier contrat en F1 ont fuité.

Prolongation automatique pour Hadjar, voilà les conditions

Ainsi, selon les informations de Sportune, le jeune français touchera un salaire annuel estimé à 800 000€. Une somme tout à fait classique pour un pilote qui débute dans le giron Red Bull. Plus intéressant, le média explique les conditions d'une prolongation automatique pour 2026. L'équipe autrichienne a toujours tout basé sur la performance et ce sera encore le cas pour Isack Hadjar qui conservera automatiquement son baquet pour la saison suivante s'il possède au moins 70% des points de son coéquipier Yuki Tsunoda avant le 14ème Grand Prix, prévu en Hongrie.

Hadjar n'y croyait pas !

Il s'agit donc d'une magnifique opportunité pour Isack Hadjar qui avait toutefois attendu le dernier moment pour savourer son arrivée en F1. « J'ai appris au Qatar, en fait, que j'allais être en Formule 1. Avant ça, c'était quasiment sûr mais tant que tu n'as rien signé, c'est... C'est un milieu tellement vicieux, tellement dur que tu te dis qu'à tout moment... Même, honnêtement, à un moment donné, même au Qatar, après le Qatar, on m'a dit que, mais tant que je n'ai pas signé, je me suis dit 'putain, il va se passer un truc'. Honnêtement, jusqu'à deux-trois jours [avant la signature], je n'étais pas encore sûr. Il fallait vraiment signer la paperasse, parce qu'on ne sait jamais avec ces gens [rire], donc voilà », confiait-il au micro de Canal+.

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