Le clan Teddy Riner vole au secours d'un joueur de l'OM
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Appelé par Didier Deschamps pour disputer l'Euro avec l'équipe de France, Jonathan Clauss a été récompensé de ses bonnes performances sous le maillot de l'OM. Il faut dire que le latéral droit a fait les efforts nécessaires pour jouer dans les meilleures conditions. En ce sens, Clauss a notamment décidé du préparateur physique d'un certain Teddy Riner.

« J’ai longtemps eu du mal à entendre qu’il me fallait travailler davantage »

En plus du staff de l'OM, Jonathan Clauss a décidé de s'offrir les services d'un préparateur physique. Ainsi, depuis l'été 2023, le joueur de l'équipe de France collabore avec Julien Corvo, qui est également le préparateur physique de Teddy Riner. A propos de cette collaboration, Clauss a expliqué pour Le Parisien : « Que m'apporte-t-il ? Déjà, du travail supplémentaire. J’en avais besoin. J’ai longtemps eu du mal à entendre qu’il me fallait travailler davantage. À l’entraînement, je ne me cachais pas, mais c’était en dehors, dans la façon de penser, de récupérer, que je devais progresser ».

« Quand on me donnait à faire quelque chose en plus, j’étais le premier à râler»

Jonathan Clauss a ensuite précisé : « Concrètement, qu'est-ce que je fais de plus ? Avant, quand on me donnait à faire quelque chose en plus, j’étais le premier à râler. Aujourd’hui, je me dis, au contraire, que ça ne peut que m’être profitable. Ma perception du travail a changé. Quand je me sens à 95 ou 100 % de mes capacités, je me rends compte que quand on élargit un peu les portes, le plafond descend et j’ai encore une marge de progression. En fait, c’est génial de se dire qu’il y a encore tant de choses à aller chercher, même à 31 ans ».

Articles liés