«J’ai l’OM dans le sang» : le PSG va halluciner
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Formé au PSG, Lorik Cana a fait ses premiers pas en professionnel avec le club de la capitale. Mais en 2005, alors qu'il lançait à peine sa carrière, l'Albanais a décidé de rejoindre le rival marseillais. Et alors que se profile le choc entre l'OM et le PSG, l'ancien joueur des clubs affiche une préférence claire pour l'OM.

Dimanche, l'OM et le PSG se retrouveront au Vélodrome dans un choc pour la course au titre. Et parmi les nombreux joueurs passés par les deux clubs, Lorik Cana présente la particularité d'avoir été formé au PSG avant de rejoindre l'OM en 2005. Et bien qu'il ait débuté à Paris, sa préférence va clairement à l'OM.

«Le club correspondait à ma mentalité, à mon ADN»

« À l'époque, rares ont été les joueurs à pouvoir arriver de la réserve, jouer en équipe première et ensuite s'installer. J'en étais super fier. C'était pour moi une façon de remercier le PSG pour l'opportunité donnée. Mais le choix a été assez simple quand j'ai voulu partir de Paris. Pour moi, c'était Marseille, le seul club français dont j'étais supporter. Et je voulais rester en France. Le club correspondait à ma mentalité, à mon ADN », lance l'ex-international albanais dans une interview accordée à BFM avant de poursuivre.

Cana à l'OM «dans le sang»

« Quand tu as un rêve de gamin et que tu as la possibilité de le réaliser, tu n'y penses pas à deux fois. Je suis resté supporter de tous les clubs dans lesquels j'ai joué, mais le club dans lequel tu grandis, tu l'as un peu dans le sang. Tu ne te forces pas pour faire les efforts, pour faire en sorte que l'aventure se passe bien. Avec les gens, ça s'est fait d'une manière extraordinaire. J'ai été adopté assez rapidement par cette ville et ses gens qui ont cette passion pour le football », ajoute Lorik Cana.

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