Le camp parisien n'entend pas refermer la polémique née de l'intervention de Jean-Michel Aulas auprès de l'arbitre à la mi-temps de Paris-Lyon (1-1). Cette fois, c'est le président du PSG qui fait entendre sa voix.
Dans la continuité de Sébastien Bazin, Robin Leproux a opté pour une présidence discrète médiatiquement. L'ancien homme de communication est avare en mots. Mais là, c'en était trop. Après l'intervention musclée de son entraîneur, Antoine Kombouaré, à l'encontre de Jean-Michel Aulas, le président parisien choisit à son tour d'attaquer frontalement son homologie lyonnais même si les mots sont plus mesurés : «Je suis consterné. Ce ne sont pas des pratiques que de héler, d'interpeller un arbitre à la mi-temps au point que celui-ci se voit obligé de vous attirer à l'écart.» Les précisions de Freddy Fautrel quant à l'incident de la mi-temps n'ont donc pas suffi à contenir le sentiment d'injustice ressenti par les Parisiens