L’Équipe révélait récemment que Stéphane Ruffier avait reçu une lettre recommandée de la part de l’ASSE pour ne pas avoir porté de masque dans l’enceinte du club. Un acharnement que Pierre Ménès a du mal à digérer.
Après des semaines de flou concernant son avenir alors qu’un potentiel départ était à l’ordre du jour avec notamment une réunion au sommet avec les dirigeants de l’ASSE, StéphaneRuffier devrait rester au club bien qu’il ne fasse plus partie des plans de ClaudePuel. Pour l’émission de RMC intitulée Top of the Foot, l’entraîneur du club stéphanois a assuré mardi soir que Ruffier s’était mis hors jeu de son propre chef. Néanmoins, c’est dans une tout autre polémique que le portier des Verts s’est fourré ces derniers temps. L’Équipe dévoilait lundi soir que la direction stéphanoise avait envoyé une lettre recommandée au clan Ruffier pour ne pas avoir pensé à mettre un masque au coeur des installations de l’ASSE. Sur son compte Twitter, PierreMénès avait réagi dans la foulée avec le message suivant. « L’acharnement devient tellement grotesque, la ficelle de l’écœurement tellement grosse. Ce ne sont pas des méthodes et c’est scandaleux. (…) Mais oui Ruffier n’est pas le seul à avoir reçu une lettre merci je sais lire. Mais y a-t-il un autre joueur dans sa situation ? Continuez à ne rien vouloir voir . Tout est parfait absolument parfait ».
« Ce club est géré n’importe comment et ça va mal finir »
« Pour info seul Ruffier a reçu une lettre recommandé les autres joueurs n’ont eu qu’une lettre à signer. La tactique de l’écœurement est évidente. Pourquoi ne pas négocier un départ. Ce club est géré n’importe comment et ça va mal finir ». a cette fois-ci confié le consultant de Canal+ sur son compte Twitter ce mercredi matin. Le feuilleton Ruffier devrait continuer d’animer de temps à autre l’actualité du football français…
Pour info seul Ruffier a reçu une lettre recommandé les autres joueurs n’ont eu qu’une lettre à signer. La tactique de l’écœurement est évidente. Pourquoi ne pas négocier un départ. Ce club est géré n’importe comment et ça va mal finir
— Pierre Ménès (@PierreMenes) September 2, 2020