Ce vendredi, le Real Madrid a officialisé un partenariat avec la maison de luxe Louis Vuitton. Détenue par la famille Arnault, la marque habillera les joueurs du club merengue dès la Coupe du monde des clubs. À l’origine de cette collaboration, le PDG de Louis Vuitton, Pietro Beccari, en a dévoilé un peu plus lors d’un entretien accordé à la presse espagnole.
Louis Vuitton poursuit sa percée dans le monde du sport. Après la Formule 1 et les derniers Jeux Olympiques de Paris, la maison de luxe a annoncé un partenariat avec le Real Madrid de Kylian Mbappé, Vinicius Jr et consorts. Elle fournira les tenues de soirée et de voyage des équipes masculine et féminine de football, ainsi que de l’équipe masculine de basket. Interrogé par Marca, le PDG de Louis Vuitton, Pietro Beccari, est revenu sur les contours de cet accord.
L'accord a été rapide
« Nous sommes très en phase. Il nous a fallu un après-midi pour trouver un accord. Je pense que l'authenticité est importante, et je pense que la collaboration a été très authentique dès le départ. Ce sont deux équipes gagnantes, deux leaders du marché. Nous sommes leaders mondiaux, numéro un sur notre marché. Je pense que le Real Madrid est numéro un en termes de portée, de divertissement et de fans, de perfectionnement de son action et de sophistication. Et je pense que c'est un cadre idéal. Si vous imaginez deux marques qui pourraient s'associer, vous pensez au Real Madrid et à Louis Vuitton, car ce sont les meilleures dans leur domaine » a déclaré le responsable italien.
« Notre collaboration sera légendaire »
Selon Beccari, la marque ne pouvait meilleur partenaire sur le marché du football. « Je pense que cela symbolise la richesse du football et la richesse du combat commun. Je pense donc que notre collaboration sera légendaire. Nous venons de commencer, alors voyons comment elle évoluera. Mais avec Florentino Pérez et ses managers, nous entretenons une excellente relation. Je pense donc qu'à l'avenir, nous trouverons de nouvelles façons d'être encore plus impressionnants dans notre collaboration, qui, je pense, commence déjà très bien, mais qui peut encore progresser » a-t-il admis au média espagnol.