Mbappé touché par un syndrome, la folle annonce en Espagne !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Le PSG n'aura donc pas mis longtemps avant de digérer le départ de Kylian Mbappé. Et pour cause, moins d'une saison après la signature du Bondynois au Real Madrid, le PSG est déjà en finale de la Ligue des champions. L'Espagne y voit donc clairement le signe d'un «syndrome Ibrahimovic».

Et si le PSG remportait sa première Ligue des champions l'année du départ de Kylian Mbappé ? Une possibilité qui paraissait totalement inenvisageable l'été dernier mais qui prend de l'épaisseur puisque le PSG s'est qualifié pour la finale qui se déroulera à Munich le 31 mai. Le journaliste Javier Giraldo évoque même un « syndrome Ibrahimovic ».

«Le "syndrome Ibrahimovic" : voir son ancienne équipe remporter la coupe la plus convoitée doit être plus aigre que doux»

« Le 31 mai, à Munich, l'Inter et le PSG se disputeront le titre tandis qu'un joueur du Real Madrid regardera le match à la télévision. Ou pas, car ce jour-là, Mbappé n'aura sans doute pas très envie de regarder son ancienne équipe devenir championne d'Europe. Le "syndrome Ibrahimovic" : voir son ancienne équipe remporter la coupe la plus convoitée doit être plus aigre que doux », écrit-il dans un édito pour SPORT, avant de poursuivre.

«Le football est toujours capricieux»

« Le football est toujours capricieux : Mbappé a quitté le PSG, qui commençait déjà à avoir une réputation de porte-malheur ou de perdant, pour rejoindre Madrid, qui venait de remporter la Ligue des champions. Une opération gagnante, selon tous les pronostics. Une équipe inarrêtable, selon certains pronostiqueurs. Mais quelques mois plus tard, nous y sommes : Madrid peut terminer la saison en blanc et le premier PSG post-Mbappé peut être couronné à Munich et remporter le triplé. Ainsi va le sport », ajoute Javier Giraldo.

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