La télévision espagnole diffuse depuis quelques semaines un documentaire sur Luis Enrique, en plusieurs épisodes. Évidemment certaines images ont beaucoup fait parler et c’est le cas avec une scène entre Kylian Mbappé et l’entraîneur du Paris Saint-Germain, qui lui a notamment parlé de la légende vivante du basket américain, Michael Jordan.
Il est parti au Real Madrid depuis plusieurs mois déjà, mais le fantôme de Kylian Mbappé plane toujours sur le PSG. C’est notamment le cas avec l'extrait d’un documentaire sur Luis Enrique diffusé sur la chaîne espagnole Movistar Plus+ tout récemment et en plusieurs épisodes, qui a fait couler beaucoup d’encre.
Mbappé - Griezmann : Le malaise est confirmé ! https://t.co/9wgv95Wrwi pic.twitter.com/n2f165x2T9
— le10sport (@le10sport) October 8, 2024
« Michael Jordan attrapait tous ses coéquipiers par les couilles et il défendait comme un fils de pu... »
Il faut dire que le scène est digne d’un film. On y voit en effet Kylian Mbappé assis face à un Luis Enrique survolté, qui a décidé d’utiliser l’idole Michael Jordan pour piquer sa star. « J’ai lu que tu aimais Michael Jordan. Michael Jordan attrapait tous ses coéquipiers par les couilles et il défendait comme un fils de pu... Toi, tu dois donner cet exemple, premièrement comme personne et comme joueur, d’aller faire le pressing. Tu es un phénomène. Mais ça ne me suffit pas » a déclaré le coach du PSG, dans des propos largement repris par les médias français comme étrangers.
« Il jouait aux cartes jusqu’à 7h du matin avec un verre de whisky et un cigare, le lendemain il mettait 40 points »
Cette comparaison prend toutefois un sacré coup dans l’aile, avec Romain Molina qui a rappelé le véritable statut de Michael Jordan lorsqu’il était aux Chicago Bulls. « Michael Jordan il jouait aux cartes jusqu’à 7h du matin avec un verre de whisky et un cigare, le lendemain il mettait 40 points et il faisait gagner les Bulls » a balancé le journaliste, dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube. « Quelqu’un lui demandait où il avait passé sa soirée ? Non, parce que sur le terrain d’entraînement c’était aussi le premier ».