Désormais consultant pour Canal+, Samir Nasri n’a pas vraiment eu une bonne réputation pendant sa carrière de joueur. L’ancien de l’OM était souvent considéré comme le rebelle du vestiaire. L’ex-milieu offensif a néanmoins tenu à régler ses comptes avec ses détracteurs, certains estimant qu’il a eu une part de responsabilité dans la grève de l’équipe de France à Knysna en 2010.
Samir Nasri n’a jamais vraiment eu une bonne réputation pendant sa carrière de joueur. L’ancien milieu offensif, formé à l’OM et passé par Arsenal et Manchester City, était souvent décrit comme l’enfant rebelle du vestiaire. Certains ont notamment estimé qu’il était impliqué dans le scandale de l’équipe de France à Knysna pendant la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud.
«Knysna 2010, je n’y étais pas»
Samir Nasri a alors réglé ses comptes avec ses détracteurs. « À un moment donné, j’ai aussi été victime de ma réputation. Un exemple : Knysna 2010, je n’y étais pas. Pourtant, dans l’imaginaire collectif, j’en faisais partie. J’ai ma part d’erreurs, je les assume complètement et si c’était à refaire, je les referais » a lancé le consultant de Canal+ dans un entretien accordé à Ouest France.
Domenech avait préféré Gourcuff à Nasri
Pour rappel, Samir Nasri avait perdu la confiance de Raymond Domenech suite à l’éclosion de Yoann Gourcuff après l’Euro 2008. Le milieu offensif n’avait donc pas été convoqué pour la Coupe du monde 2010 et n’avait même disputé qu’un seul match avec l'équipe de France entre les deux compétitions (contre la Lituanie en 2009) avant de faire son retour après le Mondial sous les ordres de Laurent Blanc.