Équipe de France : Un sale coup préparé à Zidane par Deschamps ?
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Ce samedi, la France défie l’Angleterre pour une place dans le dernier carré de la Coupe du monde. Une rencontre qui pourrait s’avérer déterminante pour l’avenir de Didier Deschamps, dont le contrat expire le 31 décembre prochain. Alors que Zinedine Zidane lorgne le poste de Deschamps, le journaliste Daniel Riolo assure que l’actuel sélectionneur des Bleus ne compte faire aucun cadeau à son ancien coéquipier.

Alors que la France affronte ce samedi l’Angleterre en quart de finale de la Coupe du monde, l’avenir de Didier Deschamps demeure incertain. Le bail du sélectionneur court jusqu’au 31 décembre, et pour l’heure, le suspense reste entier concernant la suite de son aventure à la tête de l’équipe de France. De son côté, Zinedine Zidane attend patiemment en espérant que la place se libère, mais Didier Deschamps pourrait en décider autrement.

« Il ne lâchera jamais le poste à Zidane, c’est clair et net »

Au micro de RMC, Daniel Riolo a en effet indiqué que Didier Deschamps ne devrait faire aucun cadeau à Zinedine Zidane. « Il faudrait que ce soit Zidane, il a attendu il a tout refusé pour ça, avec le risque que Deschamps veuille continuer. Et si on demande à Deschamps, il s’accrochera au poste. Surtout, il ne lâchera jamais le poste à Zidane, c’est clair et net », explique le journaliste, justifiant cela par la relation complexe qu’entretiendraient les deux champions du monde 1998.

« Il y a une blessure narcissique chez Deschamps depuis toujours »

« Il ne lâchera pas à Zidane car il sait qu’il est plus aimé que lui, et il y a une blessure narcissique chez Deschamps depuis toujours d’être moins aimé que d’autres gens de 98 », poursuit Daniel Riolo dans l’After Foot.

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