Équipe de France : Daniel Riolo cartonne un attaquant des Bleus
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Qualifiée pour la finale de la Coupe du Monde, l’équipe de France affiche notamment un rendement offensif redoutable depuis le début de la compétition. Et pourtant, Daniel Riolo estime qu’Ousmane Dembélé est un maillon faible dans l’attaque des Bleus, et il se montre très critique envers le joueur du FC Barcelone.

Emmenée par des cadres tels que Kylian Mbappé, Olivier Giroud et Antoine Griezmann en grande forme, l’équipe de France disputera donc dimanche la finale de la Coupe du Monde contre l’Argentine. Un choc qui opposera notamment Mbappé à LionelMessi, son partenaire du PSG, et ces deux stars seront attendues au tournant. Mais qu’en est-il d’un autre membre de l’attaque tricolore qui s’est moins mis en évidence depuis le début de la Coupe du Monde, à savoir Ousmane Dembélé ?

« Je me demande ce qu’il fait là »

Le joueur du FC Barcelone, même s’il a retrouvé un statut de titulaire depuis le début de ce Mondial, ne fait pas encore l’unanimité chez les observateurs comme en témoigne cette sortie de Daniel Riolo sur RMC Sport : « Je pensais qu'avec lui sur le terrain, ça partirait vite et fort des deux côtés, même en transition. Mais Dembélé en fait, je me demande ce qu'il fait là. Il n'apporte rien offensivement, on ne le voit pas », estime Riolo au sujet d’Ousmane Dembélé.

« On pensait voir autre chose »

Par ailleurs, le chroniqueur de l’After Foot se montre assez dubitatif sur le contenu offensif des matchs de l’équipe de France : « On est habitué avec cette équipe. Il y a quatre ans, elle est allée au bout de cette façon. Face au Maroc, très honnêtement, je pensais que les Bleus seraient en mesure de faire le jeu et de proposer quelque chose de plus. Même au début de cette Coupe du Monde, on avait pensé voir autre chose », explique Riolo. Reste à savoir si Dembélé le fera mentir dimanche contre l’Argentine.

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