«Cristiano était détruit», l’incroyable anecdote de Mourinho !
Thomas Bourseau

En 2012, le Real Madrid se trouvait à un pas de la finale de la Ligue des champions, mais était surclassé par le Bayern Munich. Un échec qui résonne encore dans la tête de José Mourinho. L’entraîneur en charge du club merengue à l’époque s’est livré sur cet épisode douloureux tant pour lui que pour Cristiano Ronaldo.

JoséMourinho a débarqué au RealMadrid à l’été 2010 en étant sur le toit de l’Europe. En effet, avec l’Inter,The Special One venait de remporter sa deuxième Ligue des champions et comptait bien offrir la Decima au RealMadrid. Ce que CarloAncelotti a finalement fait en 2014. Mais deux années plus tôt, Mourinho échouait aux portes de la finale contre le BayernMunich.

José Mourinho a pleuré à cause d’un échec face au Bayern Munich

A l’occasion de la demi-finale de la Ligue des champions perdue par le Real Madrid face au BayernMunich en 2012, JoséMourinho a connu un énorme revers en tant que coach. Invité à s’exprimer sur la question dans le cadre d’un reportage pour Prime Video, The Special One est revenu sur ce traumatisme en expliquant que c’était la seule et unique fois qu’un match de football l’avait fait pleurer de tristesse après coup. « Oui, je l’ai fait (ndlr pleurer), bien sûr pas sur le terrain ou dans le vestiaire, mais sur le chemin du retour à la maison, oui ».

«Prépare toi, pas de larmes et va chez Cristiano. Il était exactement dans le même état que moi : nous étions détruits».

Entraîneur de Cristiano Ronaldo, attaquant star du Real Madrid, JoséMourinho dévoile s’être rendu chez le quintuple Ballon d’or pour le réconforter tant il était dégoûté et déprimé. « Et quand je me rends à la maison, déjà dépité, je reçois un appel de Jorge Mendes : « Accorde moi une faveur, va chez Cristiano, parce qu’il est mort ». Je lui dit : « Je suis aussi mort ». Mais je l’ai fait. (ndlr il s’essuie les yeux à la montée des premières larmes). Prépare toi, pas de larmes et va chez Cristiano. Il était exactement dans le même état que moi : nous étions détruits ».

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