Marion Rousse, la rencontre presque impossible avec Kylian Mbappé !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Alors que le Tour de France s’élance ce samedi 5 juillet de Lille pour 3 semaines de compétition, on retrouvera notamment Marion Rousse aux commentaires sur France Télévisions. La compagne de Julian Alaphilippe a l’occasion de vivre de sa passion, elle qui est plongée dans le monde du cyclisme depuis toute petite. Un sport de Marion Rousse adore notamment grâce à la proximité avec les coureurs, ce qui n’est pas forcément le cas dans le football.

Depuis plusieurs années, la vie de Marion Rousse tourne autour du cyclisme. Aujourd’hui consultante sur France Télévisions ainsi que directrice du Tour de France femmes, elle était auparavant cycliste professionnelle, ayant notamment remporté un titre de championne de France. Mais entre Marion Rousse et le vélo, l’histoire d’amour a commencé dès le plus jeune âge, elle qui adorait partirait à la rencontre des coureurs.

« Cela reste plus facile de rencontrer Tadej Pogacar que Kylian Mbappé »

Rencontrer les cyclistes professionnels était donc une passion pour Marion Rousse quand elle était petite. Cela était alors facile pour elle étant donné la proximité avec les coureurs. Et pour expliquer cela, pour La Croix, la compagne de Julian Alaphilippe a notamment pris un exemple impliquant Kylian Mbappé : « Quand j’étais gamine, le Tour de France signifiait pour moi la chasse aux bidons que les coureurs utilisent pour boire. Je voulais en avoir le plus possible, de toutes les équipes. Avec ma famille, on regardait d’avance où passait le Tour, que l’on soit dans le Nord ou en vacances dans le Midi. Je partais aussi à la chasse aux casquettes et aux autographes. La particularité de notre sport est que l’on rencontre assez facilement les champions. Cela reste plus facile de rencontrer Tadej Pogacar que Kylian Mbappé. Le cyclisme est populaire, il faut qu’il le reste ».

« J’ai commencé le vélo en compétition à l’âge de 6 ans »

Ayant donc très vite plongé dans le cyclisme, Marion Rousse a expliqué également : « J’ai commencé le vélo en compétition à l’âge de 6 ans. J’étais une petite fille qui débordait d’énergie. Ma mère me raconte régulièrement que je passais mon temps à grimper aux arbres et à courir un peu partout. C’était dans mon ADN et je viens d’une famille de cyclistes. Mes cousins étaient professionnels et mon père courait aussi à haut niveau chez les amateurs. À un moment, j’en ai eu marre d’être la petite fille qui allait les encourager sur le bord de la route ».

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