Marion Rousse - Alaphilippe : La grande frayeur en plein direct !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Après une brève carrière de cycliste professionnelle, Marion Rousse a décidé de se lancer dans le monde des médias. Aujourd’hui, elle est ainsi consultante sur France Télévisions, ce qui lui donne notamment la possibilité de commencer son compagnon, Julian Alaphilippe. De quoi donner lieu à des moments très compliqués qui ont fait vivre des frayeurs à Marion Rousse.

En 2022, Julian Alaphilippe a frôlé le drame. En effet, à l’occasion de Liège-Bastogne-Liège, le double champion du monde était victime d’une terrible chute. Le verdict : un pneumothorax, deux côtes et une omoplate cassées. Alors qu’on avait pu le voir allonger dans le ravin, les images faisaient froid dans le dos. Un moment d’autant plus terrible pour la compagne de Julian Alaphilippe, Marion Rousse, puisqu’elle était aux commentaires de cette course sur France Télévisions.

« La seule chose qui peut me perturber, c’est la chute »

A l’occasion d’un entretien accordé à La Croix en juillet dernier, Marion Rousse avait raconté cette frayeur vécue en direct au moment de la terrible chute de Julian Alaphilippe. La compagne du cycliste français confiait alors : « Difficile de commenter les courses auxquelles participe Julian Alaphilippe ? Honnêtement, cela ne me pose aucun problème, justement parce que je connais le vélo. Je peux prendre le recul nécessaire. La seule chose qui peut me perturber, c’est la chute, par exemple celle de Julian lors de Liège-Bastogne-Liège en 2022 ».

« Je suis humaine, j’ai eu peur »

« Je suis humaine, j’ai eu peur. Mais j’aurais pu aussi être effrayée pour d’autres coureurs. Les chutes, c’est terrible à commenter. Que ce soit des gens que tu connaisses ou pas, c’est un peu la phobie du commentateur sportif », a poursuivi Marion Rousse.

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