Julian Alaphilippe repousse Marion Rousse en public !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Vainqueur du Grand Prix du Québec vendredi Julian Alaphilippe a décroché la première victoire de saison et il a pu la célébrer avec sa compagne Marion Rousse, qui commentait la course pour la télévision canadienne. Mais lorsqu'elle a quitté son poste, elle a été accueillie par le coureur Tudor qui l'a directement prévenue : « Je vais te dégueulasser ! »

Alors qu'il connaît une saison plus que compliquée, Julian Alaphilippe a enfin gagné sous les couleurs de sa nouvelle équipe Tudor, qu'il a rejoint cette saison en provenance de Quick-Step. En effet, malgré la présence d'un plateau très relevé, avec notamment Tadej Pogacar, le coureur français a remporté le Grand Prix du Québec grâce à une attaque tranchante à 1,5km de l'arrivée.

«Je vais te dégueulasser !»

Et Julian Alaphilippe a pu s'imposer devant Marion Rousse qui commentait la course pour la télévision canadienne TVA Sports. La directrice du Tour de France Femmes s'était donc empressée de retrouver son conjoint, mais lorsqu'elle est descendue du plateau elle a été de manière inattendue puisque le vainqueur du jour lui a lâché : « Je vais te dégueulasser ! » Mais Julian Alaphilippe a toutefois rapidement enlacé sa compagne après cette petite blague.

«C’est vraiment une victoire spéciale pour moi»

Quoi qu'il en soit, Julian Alaphilippe était ravi d'avoir enfin renoué avec la victoire : « C’est vraiment une victoire spéciale pour moi, parce que c’est une course que j’ai toujours imaginé gagner. C’étaient les consignes de mon directeur sportif de vraiment essayer de ne penser qu’au final, de rester concentré pour jouer la victoire et ne pas faire le show, a plaidé le gagnant. Ce n’était pas évident pour moi de rester dans le groupe devant et de ne pas vraiment collaborer parce que ce n’est pas mon habitude. À la fin, c’est peut-être aussi ce qui m’a permis d’avoir l’énergie nécessaire dans les derniers kilomètres pour partir et résister ».

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