Carlos Alcaraz est sans doute le joueur de tennis le plus talentueux de la nouvelle génération. Pour preuve, il a déjà réussi à gagner une finale de Grand Chelem face à Djokovic, à Wimbledon. Toni Nadal, ancien entraîneur de Rafael, prédit de grandes choses pour le numéro 1 mondial, et il le compare même à Roger Federer.
A-t-on assisté, dimanche 16 juillet, à la fin de Novak Djokovic ? Probablement pas, ce n'est pas parce que le Serbe a perdu une finale de Grand Chelem, d'autant plus à Wimbledon, qu'il ne va plus rien gagner derrière. Le Djoker est encore en très grande forme, et il va sûrement améliorer son nombre de majeurs, mais cela sera plus difficile, à cause d’un homme.
Carlos Alcaraz est numéro 1 mondial
Novak Djokovic fait partie de l'ancienne génération, celle du Big 3. Un trio légendaire composé du Serbe, mais aussi de Rafael Nadal et Roger Federer. Le Suisse a déjà pris sa retraite, alors que l'Espagnol vise un retour sur les courts en 2024 pour une ultime année sur le circuit. Le Djoker est donc pour le moment l'ultime représentant de cette époque, mais il est justement poussé dehors par une nouvelle génération. Celle-ci a comme porte-étendard Carlos Alcaraz, déjà vainqueur de deux Grand Chelem, et tombeur de Novak Djokovic en finale dimanche dernier à Wimbledon.
Tennis : Terrassé par Alcaraz, Djokovic veut déjà sa revanche https://t.co/dtdFduA1f5 pic.twitter.com/BX8xvuugDB
— le10sport (@le10sport) July 19, 2023
Toni Nadal compare Alcaraz à Federer
Personne ne peut passer à côté de Carlos Alcaraz. L'Espagnol a seulement 20 ans s'est imposé comme le numéro 1 mondial actuel. Il pourrait très bien dominer son sport pendant de très nombreuses années. Lors d'un entretien au journal espagnol El País, Toni Nadal, oncle de Rafael a même comparé le jeune Murcien à Roger Federer pour expliquer la supériorité du dernier vainqueur de Wimbledon. « Il est plein de confiance et en excellente forme, physiquement et techniquement. Il me rappelle l’irruption et la supériorité dont Federer a fait preuve depuis la fin de l’année 2003 et, surtout, en 2004. Son invincibilité était si écrasante qu’il a fallu attendre l’arrivée d’une nouvelle génération pour que Roger se retrouve en difficulté. J’ai l’impression qu’il en sera de même, pendant un certain temps, avec Alcaraz. »