Gilles Simon, connu au début de sa carrière pour ses bons résultats sur terre battue, reconnaît aujourd’hui que la surface ocre est de plus en plus difficile à appréhender. « Le passage sur terre battue est toujours un peu délicat. Il n’y pas eu beaucoup de temps. Je sais que je peux avoir besoin de temps pour retrouver de la caisse. Mardi, c’était le jour ou jamais pour faire une grosse séance. Elle a duré un peu plus de quatre heures », a affirmé le Niçois.
Simon : « Un passage toujours délicat »