L’équipe de France a raté son Mondial. Les Bleus ont été humiliés en quarts de finale par la Nouvelle-Zélande (62-13). En interne, tout ne s’est pas bien passé…
La claque. La France n’a pas existé contre la Nouvelle-Zélande en quarts de finale de la Coupe du monde. Les Bleus ont été assommés par les futurs champions du monde (62-13). Depuis quatre ans, les Français déçoivent. Ce mercredi, L’Equipe fait de nouvelles révélations sur le fiasco français… « Selon différentes sources, les marques d'une scission surgissent (pendant la préparation) entre ceux qui connaissent les impératifs du très haut niveau et d'autres mal conseillés et trop contents d'eux », explique L’Equipe.
Une fronde pendant la préparation ?
Le quotidien sportif raconte comment le capitaine Thierry Dusautoir a tenté de faire le lien, pendant de longues semaines, entre le staff et les joueurs. « Un petit groupe de joueurs, jeunes pour la plupart, s'en va chouiner dans le bureau de PSA. Ils racontent que la pression exercée par leur leader (Dusautoir) les oppresse. À la manière de mauvais élèves dont ça n'est jamais la faute, ils se planquent derrière cet alibi pour justifier la piètre sortie écossaise (début septembre) au point de plonger le sélectionneur dans le doute. Dusautoir recevra alors le soutien des tauliers du groupe comme Nicolas Mas, Frédéric Michalak, Yannick Nyanga et Dimitri Szarzewski, tous abasourdis par le discours des pseudo-frondeurs, qui ont vite fait de rétropédaler au moment de l'explication frontale », raconte L’Equipe dans son édition de mercredi.