Formule 1 : Renault prend une première grosse décision pour Alonso !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

En 2021, Fernando Alonso remplacera Daniel Ricciardo chez Renault. Du haut de ses 38 ans, l'Espagnol va rapidement devoir reprendre ses marques, mais pour Cyril Abiteboul, ce ne sera pas un problème.

C'est désormais officiel, Fernando Alonso sera bien au volant d'une Renault la saison prochaine afin de remplacer Daniel Ricciardo. Après deux saisons loin des paddocks, le double Champion du monde fera donc son grand retour, mais à quel niveau ? C'est la question qui se pose compte tenu du fait que l'Espagnol aura 39 ans à la fin du mois de juillet. Et son adaptation ne risque pas d'être facile puisque les essais hivernaux pourraient être annulés la saison prochaine afin de réduire les coûts. Par conséquent, Fernando Alonso pourrait débarquer la saison prochaine sans avoir rouler avec sa nouvelle monoplace. D'autant plus que Cyril Abiteboul estime qu'il n'est pas nécessaire de lui confier le baquer Daniel Ricciardo pour les premières séances d'essais libres de certains Grands Prix.

Pas d'essais libres pour Alonso

« On va pas lui apprendre à conduire. Et puis il démontre qu’il est capable de conduire n’importe quelle chose qui existe ayant quatre roues – et je suis sûr qu’il pourrait conduire des voitures à trois roues ! On va faire du simulateur, il roulera peut-être avec la RS18, la voiture d’il y a deux ans. Je ne peux pas faire mieux que ça. On ne peut pas faire des EL1, car on fait deux trains de pneus… Ce sont des choses qui peuvent avoir un caractère particulier pour un jeune, là, ce n’est pas le cas. Je ne suis pas très inquiet. Il y a plus de charge, beaucoup plus que quand il a conduit et donc, il y a plus de chances de s’adapter quand il y a plus de charge aérodynamique que moins. Donc je ne suis pas extrêmement angoissé par rapport à ça. Mais s’il y a des opportunités de le faire rouler, on le fera », assure le patron de Renault au micro de Canal+.

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