F1 : Révolution chez Alpine, il annonce la couleur !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

En juillet dernier, une révolution a eu lieu chez Alpine, alors que le directeur d’écurie Otmar Szafnauer a été remercié après un début de saison raté. Si depuis, les résultats de l’écurie française se sont légèrement améliorés, ces derniers restent en deçà des attentes. Nouveau directeur d’Alpine, Bruno Famin a fait part d’importantes ambitions pour 2024.

« Vous devez aligner les planètes »

Dans des propos relayés par Next-Gen Auto, Bruno Famin explique la nécessité de bonnes conditions pour Alpine en 2024 : « Vous devez aligner les planètes, nous devons être bons dans l’extraction des performances de la voiture, nous devons être bons dans le développement de la voiture et dans le développement du moteur. Même si nous n’avons pas le meilleur moteur – et que nous n’avons pas la meilleure voiture – je pense que nous pouvons aligner les planètes pour avoir une très bonne voiture et obtenir de bons résultats ».

« Je ne veux pas fixer un objectif qui ne sera pas atteint »

« Ce que nous devons faire, c’est de nous assurer que nos collaborateurs travaillent bien ensemble et que nous pouvons tirer le meilleur de chacun », poursuit le directeur d’Alpine. « Quelle que soit la nationalité, quel que soit le lieu de travail, nous devons pousser ensemble et libérer l’énergie et la créativité de chacun en termes de technique, mais aussi en termes de processus ». Je n’ai aucune idée du temps que cela prendra, je ne veux pas fixer un objectif qui ne sera pas atteint. L’objectif pour l’année prochaine [2024] sera de développer cette attitude, cet état d’esprit, tout en changeant la culture », conclut Bruno Famin.

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